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Malgré un déclin démographique dans les années 1980, l’attractivité de la deuxième agglomération française en termes de population ne s’est jamais démentie, séduisant près de 10 000 nouveaux arrivants par an. Véritable métropole nationale et même européenne, Lyon reste un des pôles principaux de la croissance française. Le marché de l’emploi à Lyon évolue sur les bases des industries qui y sont historiquement présentes, avec un dynamisme particulier notamment de l’économie numérique et de la chimie.
Malgré un déclin dans les années 1980 limité à la ville de Lyon en tant que telle, l’attractivité de l’agglomération rhodanienne ne s’est jamais démentie. La situation économique est aujourd’hui favorable à l’emploi à Lyon.
L’agglomération lyonnaise désigne plusieurs niveaux d’étude. Sur le plan démographique, tous sont aujourd’hui en croissance aussi bien naturelle que migratoire :
- La ville de Lyon comptait 513 275 habitants en 2015 contre 491 268 en 2011,
- Lyon-métropole, une collectivité à statut particulier proche d’une intercommunalité regroupait elle 1 370 678 habitants en 2015 contre en 1 306 972 en 2011,
- L’aire urbaine de Lyon rassemblait 2 291 763 habitants en 2015,
- Le bassin d’emploi de Lyon Centre, couvre un champ plus restrictif que les autres bassins d’emploi au sens de Pôle Emploi, se limitant quasiment à la ville de Lyon,
- L’Insee étudie lui une « zone d’emploi » bien plus vaste, avec 1 820 352 habitants en 2015 (1 723 784 en 2010). Cette attractivité est tout particulièrement forte chez les jeunes, Lyon étant en tête du classement 2018 des meilleures villes étudiantes.
Si Lyon était un pays, son PIB (39 milliards d’euros) serait à peu près équivalent à celui de la Serbie. Sur le plan de l’emploi, son taux de chômage (7,9% au 2e trimestre 2018) serait inférieur à celui de la France. Et la tendance est dynamique, avec une baisse de 0,4 point de ce taux en un an, et plus de 26 750 projets de recrutements à Lyon en 2018 (+23%). De 2006 à 2016, malgré la crise, l’emploi y progressait même de plus de 11%. Sur la zone d’emploi, ce sont pas moins de 123 912 recrutements qui sont prévus pour 2019. Signe de l’attractivité internationale, 17% des entreprises de l’agglomération ont des capitaux étrangers.
En termes d’événements et équipements culturels et sportifs, mais aussi de transports en commun, Lyon n’a en France de rivale que Paris.
De type semi-continental, le climat lyonnais est marqué par :
- Des hivers froids et secs,
- Des étés chauds et humides car orageux,
- Des brouillards fréquents en automne,
- Un ensoleillement relativement important, lié à une influence méditerranéenne (2000 heures par an, contre 1664 à Paris).
Ville au territoire relativement limité et donc densément peuplée, Lyon est après Nice la métropole de province où l’immobilier est le plus cher. Mais les prix restent entre 50% et 80% moins chers qu’à Paris ! Ainsi, la location d’un studio pourra facilement se négocier à 600 euros par mois, et un trois pièces à à peine plus de 1 000 euros par mois en centre-ville – bien moins en proche banlieue. Etant donné la pression démographique, les prix à la vente sont en forte augmentation : 8,5% entre 2017 et 2018. Les arrondissements les plus chers sont les 1er, 2e, 4e et 6e.
L’agglomération Lyonnaise bénéficie du 2e plus grand réseau de transports de France. Il regroupe :
- 124 lignes de bus,
- 9 lignes de trolleybus,
- 5 lignes de tramway,
- 4 lignes de métro,
- 2 funiculaires. Malgré son relief parfois accidenté, la ville bénéficie d’un réseau très complet de vélo en partage, avec 300 stations.
Sur le plan culturel, Lyon propose un grand nombre d’événements annuels importants, comme les Nuits de Fourvière, le Festival Lumière, Les Nuits Sonores, la Fête des Lumières… Son Musée des confluences a attiré plus de 700 000 visiteurs en 2017, et son musée des beaux-arts plus de 300 000. La ville est par ailleurs équipée d’un opéra, d’une vingtaine de théâtres, d’une dizaine de cafés-théâtres, et une quinzaine de cinémas.
Si le marché de l’emploi dans l’agglomération lyonnaise est dynamique dans quasiment tous les secteurs, deux sont particulièrement intéressants en termes d’opportunités : la chimie et le numérique.
La présence de l’industrie chimique près de Lyon remonte au second empire. Très rapidement s’est constitué le long du Rhône un « couloir de la chimie » accueillant toutes les entreprises françaises majeures du secteur comme Rhodia, Total, Air Liquide, Bayer, Arkema… Cette activité traditionnelle est en train d’être réorientée vers une chimie à visée écologique, avec la création du pôle de compétitivité Axelera et plus de 500 millions d’euros d’investissements en 5 ans.
La croissance des emplois numériques à Lyon n’est pas sans lien avec celle des industries chimique et pharmaceutique. En effet, « Lyon French Tech » le pôle local du cluster « Digital League » de la région Auvergne-Rhône-Alpes est notamment spécialisé dans les technologies de la santé. Mais aussi dans les objets connectés, bénéficiant des investissements de grandes entreprises locales comme le groupe Seb. En 2017, le numérique représentait pas moins de 37 666 emplois à Lyon-Métropole, en hausse de près de 20% depuis 2013 !