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Si la Côte d’Azur est aujourd’hui connue et respectée dans le monde entier pour d’autres activités que le tourisme, Antibes y est certainement pour quelque chose. En effet, avec la création de la plus ancienne technopole de France à Sophia Antipolis, la recherche et l’ingénierie font bouillonner le marché de l’emploi à Antibes. Les centres de recherche et développement de quelques-unes des entreprises les plus ambitieuses du monde sont ainsi venus s’implanter à quelques kilomètres d’Antibes. C’est somme toute logiquement que les acteurs du numérique leur ont emboîté le pas, pour faire d’Antibes et de Sophia-Antipolis le cœur de la « French Tech Côte d’Azur ».
Antibes fait partie d’un territoire fortement attractif sur le plan démographique et performant sur le plan économique.
Antibes appartient à plusieurs niveaux d’étude : - La commune d’Antibes à proprement parler, dans les Alpes-Maritimes (qui comprend le bourg de Juan-les-Pins), qui comptait 73 798 habitants en 2016, - La communauté d’agglomération Sophia Antipolis, qui lui ajoute 23 communes, pour 175 908 habitants en 2015, - A ne pas confondre avec la technopole Sophia-Antipolis, qui regroupe 4 communes, - Le bassin d’emploi d’Antibes-Cannes, qui a vu sa population progresser de 408 409 à 411 645 habitants sur la même période. Sur une côte d’Azur marquée par le poids démographique du 3e âge, Antibes profite de son pôle universitaire avec une population plus jeune : 30% des habitants ont moins de 30 ans.
Antibes et Cannes figurant dans le même bassin d’emploi, leurs statistiques sont communes. Le taux de chômage dans la zone d’emploi d’Antibes était donc de 10% au 2e trimestre 2018, en baisse de 0,3 point par rapport à l’année précédente. 14 074 projets de recrutement avaient été enregistrés en 2018 contre 11 360 en 2017, confirmant cette trajectoire positive de l’emploi à Antibes. Le revenu moyen des Antibois est encore plus élevé que celui des Cannois : 27 905 euros contre 26 042 euros. La moyenne nationale est elle à 26 521 euros… « seulement ».
La présence d’une technopole réputée mondialement, au sein d’un territoire baigné par un climat particulièrement enviable, incite naturellement à faire un rapprochement avec le haut lieu de l’innovation californien.
Antibes illustre parfaitement le climat méditerranéen, avec des hivers aux températures très clémentes (à peine moins de 10 degrés de moyenne mensuelle au plus froid de l’année), des étés chauds (près de 30 degrés de moyenne l’été) et pas loin de 3 000 heures d’ensoleillement par an.
Se loger à Antibes revient comparativement cher. A près de 4 500 euros le m² à la vente, les tarifs sont quasiment au niveau des prix cannois. A 17 euros le m² locatif en moyenne, ils sont même plus élevés !
Envibus, le réseau de transports de la communauté d’agglomération regroupe 27 lignes de bus. Doit y être ajouté le « bus-tram » qui relie en 23 stations le centre-ville à la technopole, un bus à haut niveau de service, en site propre.
Antibes propose comme équipements culturels : - 4 musées, - 1 médiathèque, - 1 conservatoire de musique et d’art dramatique, - 1 espace culturel, - 1 cinéma. Les équipements sportifs sont particulièrement fournis : - Un complexe multisport couvert de près de 14 000 m², - 4 salles multisports couvertes, - 2 gymnases, - 6 stades, - 38 courts de tennis, - 1 skate-park, - 1 stade nautique.
Sophia Antipolis est devenu un pôle d’attraction mondial pour les projets de recherche et de développement des entreprises du monde entier. Un écosystème numérique est naturellement venu s’y greffer en aval, mettant sur le marché quelques résultats de cette activité de recherche.
Créé en 1969 sur les territoires des communes d’Antibes, Valbonne, Biot, Mougins et Vallauris, Sophia-Antipolis est la plus ancienne technopole de France. Elle représente aujourd’hui 5 000 étudiants et chercheurs et 38 000 emplois à Antibes et Sophia-Antipolis pour 2 500 entreprises. La technopole héberge les centres de R&D d’entreprises du monde entier dans tous les secteurs, comme le Chinois Huawei, le Japonais Toyota, les Américains Symphony, GlaxoSmithKline ou HP, ou l’allemand Bayer. « 3IA », le dernier grand projet pris en charge sur la technopole concerne l’intelligence artificielle, avec 100 millions d’euros investis par l’Etat dans le laboratoire antibois i3s. Le bilan provisoire ? 13 créations d’entreprises sur cette thématique.
Son nom illustre mal l’étendue du spectre des activités de la Telecom Valley, qui a pour vocation majeure d’ « animer l’écosystème du numérique azuréen ». L’association est tout naturellement basée à Antibes pour tirer parti des nombreux projets de recherche entrepris à Sophia Antipolis. Avec 150 adhérents, universités, entreprises de toute taille et pouvoirs publics, le succès est au rendez-vous, et Antibes s’est positionné au cœur du dispositif « FrenchTech Côte d’Azur ». Des entreprises comme Login People, Median Technologies, Therapixel, Groupe VIP 360 ou Amadeus procèdent ainsi à des centaines de recrutements à Antibes chaque année. Et pour des métiers très qualifiés en tension !